Qui suis-je ?

En voilà une question que je me suis posée pendant longtemps !

Et dire que j’ai construit une vie pendant des décennies sans avoir la réponse à cette question !

Il a fallu que je parte m’expatrier à 20 000 km, en Nouvelle-Zélande, pour commencer à trouver des réponses.

Je vais y revenir !

Je m’appelle Jean-Philippe Policieux, j’ai 43 ans et j’ai longtemps couru après une vie qui n’était pas la mienne.

C’était celle qu’on m’avait recommandée, on m’avait dit que je serais heureux sur ce chemin, que ce serait comme ça que je “réussirais”.

“Tu seras ingénieur, mon fils !”, pourrait résumer le libre choix de mon éducation.

J’y ai cru, ça m’a plu … ce choix-là, je l’ai fait, en fin de compte.

Mais tout simplement parce qu’on ne m’avait pas appris à faire mes propres choix.

Et je n’avais pas pris la décision de les faire consciemment non plus.

Je prenais ceux des autres, ce qui était beaucoup plus facile !

C’est en avançant sur ce chemin de vie là que j’ai compris que ce n’était pas (plus ?) le mien.

Ingénieur, la vie parisienne, le confort, l’évolution professionnelle, tout a roulé comme sur des roulettes ou presque.

Jusqu’à ce que je commence à ressentir que quelque chose n’allait pas.

Atterrissage dans le développement personnel

J’ai commencé à chercher à comprendre ce décalage entre ce que me disait ma tête et ce que me disait mon ressenti, mon coeur.

Et je me suis intéressé au développement personnel en 2006 à travers l’Hypnose.

Pas l’Hypnose de spectacle mais l’Hypnose thérapeutique, celle pour aller mieux, et ensuite l’hypnose humaniste, pour s’ouvrir à plus grand encore.

Un nouveau monde s’est ouvert à moi, les pensées, les croyances, les émotions, les conditionnements, les blocages et l’accompagnement dans la transformation et la libération de tout ce qui nous empêche de vivre plus sereinement.

Tout ça, c’était nouveau pour moi.

Mais qu’est-ce que ça me parlait !

J’ai importé tout ça dans mon métier. D’autant que je commençais à encadrer des personnes, à les coacher dans leur métier de chef de projet notamment.

C’est aussi à ce moment-là que j’ai commencé à m’intéresser à la spiritualité.

Mais impossible d’en parler autour de moi, vous comprenez bien, un ingénieur qui se pose des questions métaphysiques … dans ma tête, ça ne collait pas !

A cette époque, je me sentais utile en coachant, en encadrant, mais il y avait un appel pour plus encore, comme si je me la jouais “petit”.

L’informatique commençait à me sortir par les oreilles, les projets foireux, les entreprises-clients qui ne savent pas ce qu’ils veulent, les technologies qui changent tout le temps, les solutions qui finissent dans des tiroirs.

J’avais l’impression de ne servir à rien au final à part à alimenter une machine folle qui avançait comme un coq sans tête.

Heureusement, mon évolution professionnelle met de côté cette impression et voilà que je me retrouve à encadrer 50 personnes !

Mon ego est content, mais pas pour longtemps.

Le point de bascule

Je remplis des fichiers Excel, j’écris des propositions commerciales, je prétends être le manager de consultants en leur accordant 2 heures par an et je participe à des réunions aussi inutiles et improductives que remplies de discussions stériles.

Je pense avoir le pouvoir de changer les choses et en fait, je suis moi-même prisonnier.

L’appel se fait plus fort : “Il faut que ça change.”

Mais quoi ?

Et puis, cette envie de partir à l’étranger.

Ça va, ça vient, mais c’est de plus en plus présent.

Je tente de changer de boîte en France mais sans succès et finalement la décision est prise de partir m’expatrier en Nouvelle-Zélande.

Je deviens Papa et c’est avec les valises sous le bras et un visa touriste que nous atterrissons à Auckland, à 20 000 km.

Partir le plus loin possible, ça ressemble à de la fuite, n’est-ce pas ?

Eh bien, oui, c’était le cas ! 🙂

Tout n’a pas été rose et l’herbe pas beaucoup plus verte, il faut le dire.

Il y a eu du stress, de l’inconnu, des émotions, du suspense, des désillusions, bref de l’aventure … !

J’ai trouvé un boulot relativement facilement : le 24 décembre je reçois une proposition d’embauche, c’est gagné, on va pouvoir rester et s’installer. Joyeux Noël !

Je serai consultant informatique.

Les semaines passent avec un arrière-goût bizarre.

Je mets plusieurs jours à comprendre que quelque chose ne va pas.

Que cette vie-là qu’on est en train de reconstruire depuis zéro ou presque a un air de déjà-vu

Et puis je prends conscience que je suis en train de recréer la même vie que celle que j’avais quittée en région parisienne.

Il y a le côté exotique d’être en Nouvelle-Zélande, certes, mais on s’y fait et le quotidien reprend le dessus.

La vie de consultant me revient à la figure …

Les problèmes informatiques, les technologies qui changent, les projets alambiqués, les clients qui ne savent pas ce qu’ils veulent …

Et un ego qui en prend un coup.

Moi qui coachais des chefs de projet, je me fais faire la leçon par des personnes qui se trompent sur des concepts fondamentaux et mon niveau d’anglais ne me permet pas de prendre ma place correctement.

La décision est prise, il est temps de réfléchir sérieusement à une autre voie, tout en continuant celle sur laquelle je suis.

Je vais tenir encore comme ça encore 4 ans ou presque …

Le début de l’exploration

Ce qui m’a fait tenir, ce sont mes projets à côté.

A partir du moment où j’ai compris que j’étais en train de me planter de route, j’ai commencé à me poser de nouvelles questions et notamment : “Qui suis-je ?

Mais les réponses ne sont pas venues pas comme ça.

Alors, j’ai commencé à explorer.

J’ai lancé 5-6-7 projets pour voir ce qui me plaisait ou non, des projets plus ou moins techniques (après tout, c’était ma formation d’origine) et puis dans cette exploration, j’ai re-découvert mon envie d’écrire.

Alors j’ai lancé un blog sur la gestion de projet (qui existe toujours : www.anyideas.net )

Je commence à coacher des gens sur leur métier de chef de projet et ça me plaît.

J’y dépense une énergie pas possible à grands renforts de vidéos, d’articles et de formations mais c’est une bouée qui me permet de respirer !

En parallèle, parmi les autres projets que je teste, il y a un site sur la spiritualité.

Je fais un partenariat avec un auteur américain, Neale Donald Walsch pour traduire sa newsletter en français.

J’avais commencé à lire ses livres en France au moment où j’apprenais l’Hypnose, et ils m’avaient énormément impacté ou secoué même :-).

Quand je lisais sa newsletter anglophone, je me disais que ce serait bien que ça existe en français.

Alors je me suis lancé.

J’ai commencé à traduire … tous les jours … du lundi au vendredi …

Mais, autant je passais du temps à promouvoir mon activité de coaching de chef de projets, autant pour la spiritualité, je ne faisais rien à part traduire et publier.

J’ai été le premier surpris de la tournure des événements.

Mon blog chef de projet a faiblement décollé.

Le site sur la spiritualité a littéralement explosé en termes d’abonnés.

Je n’ai pas compris.

La vie me montrait le chemin

Les gens me posaient des questions sur les livres, sur la spiritualité, sur leur vie, me parlaient de leurs problèmes et expériences, …

Je me sentais un peu démuni à dire vrai …

Mince, mais qui suis-je pour parler de spiritualité ?

Après tout, je suis pas tant spirituel que ça, moi j’aime bien le concret. Quand c’est trop perché là, moi, pfiouuuuu … ça me passe à 15 000 mètres au-dessus de la tête !

Et puis, je me rends compte, en répondant à ces personnes, que je leur apporte quelque chose.

Elles me remercient, ça les aide, ça les soulage, elles comprennent mieux.

Au bout d’un moment, je crée des formations pour aller plus loin, pour aider à mieux comprendre les livres de Neale Donald Walsch.

Au bout de quelques années, ce sont des dizaines de milliers de personnes qui reçoivent chaque jour la pensée traduite en français.

On m’aurait dit ça au début, je ne me serais jamais lancé je crois !

J’aurais eu trop peur !

Déjà que je stressais quand j’envoyais la pensée à 50 personnes …

Puis ça a commencé à stagner, je sentais que je touchais un plafond en terme d’évolution.

J’ai eu des signes, des réponses, des éléments de solutions pourtant.

Un mentor m’a dit une fois : “Arrête de te cacher derrière ton petit doigt ! les gens veulent entendre Jean-Philippe !

Je n’en ai pas dormi de la nuit qui a suivi.

Mais ça n’a rien changé tout de suite.

Il a fallu que je passe par une longue crise personnelle pour passer le cap.

Toutes les activités que j’ai lancées en parallèle de mon boulot à plein temps me permettaient enfin de le quitter !

Et ce qui aurait dû le départ d’une vie plus sereine, plus libre, plus épanouie a été le déclencheur d’une succession d’événements plus perturbants les uns que les autres.

Nous avons dû quitter notre maison en Nouvelle-Zélande sans possibilité de retrouver un logement décent au même loyer, nous passions de airbnb en airbnb, nous passons deux mois aux Etats-Unis sans succès et mon père m’annonce une récidive de son cancer.

Les 6 premiers mois qui ont suivi mon départ professionnel sont devenus un tourbillon compliqué, de perte de repères, de doutes …

Après le professionnel, le personnel …

Mon pressentiment pour mon père est plutôt pessimiste et la décision est prise de rentrer en France.

On prend l’avion le jour de Noël, et 48 heures de trajet plus tard (3 avions et un train), je discute avec lui pendant des heures (j’en parle ici en détails).

Ce sera la dernière fois que je le vois conscient.

Deux mois plus tard, je suis face à ma grand-mère, sa mère, pour lui dire que son fils doit partir, qu’il n’y a plus rien à faire.

Je la regarde dans les yeux. Je sais, à ce moment-là, que ça va aller.

Cela marque une étape, je n’ai plus de parents, cela coupe comme un lien avec mon passé, avec mon éducation, avec certains de mes choix.

Une première ouverture, timide, se fait, des prises de conscience, des rencontres, des réponses sur qui je suis, sur mon but dans la vie, sur une mission que je suis sensé accomplir.

Et puis, c’est mon mariage qui se complique.

Je ne sais plus quoi faire.

On décide finalement de s’arrêter là et on se sépare.

Nouvelle perte de repères, chaos logistique, je dors à gauche à droite, chez des amis, la famille, dans des airbnbs, …

Je suis submergé de doutes très souvent : “Comment j’ai pu en arriver là ?!”

Et puis en même temps, ce sont des grands moments de sérénité que je vis.

La clarté se fait de plus en plus, les synchronicités sont de plus en plus fréquentes, les réponses viennent plus rapidement, les prises de conscience sont de plus en plus fortes.

Reconnexion en cours, merci de patienter

Et j’ai mon intuition qui se fait de plus en plus présente.

D’abord pour moi, puis pour les autres.

Quoi faire, où aller, quoi dire, …

Je me surprends à donner des réponses aux autres, des clés ou des pistes de réflexion qui sont hyper pertinentes, me disent-ils ensuite.

“Comment tu sais ?!”, ils me demandent.

“Mince, mais d’où ça vient ?”, je me demande.

En fait, je sais d’où ça vient, mais je n’accepte pas encore ce côté intuitif chez moi …

Les choses s’accélèrent encore et un déclic.

Une conversation dans le salon où la personne me demande quelle est sa mission de vie.

J’ai des images qui me viennent, je les partage et la personne a une grosse prise de conscience en face !

Je doute à fond, je renouvelle l’expérience et re-belote.

Je continue de douter, alors je force l’expérience et j’accompagne jusqu’à 10 personnes dans la journée. Et à chaque fois, il se passe un truc pour elles.

En France, à l’étranger, en français, en anglais, de vive voix, par Skype, ou par téléphone.

Et puis, c’est par séries, les personnes se mettent à pleurer au téléphone, soulagées d’une émotion ou d’une croyance obsolète.

Ensuite, c’est les personnes trop dans le mental ou bien à la recherche de sens dans leur vie, à la limite du burn-out.

Les retours des personnes sont incroyables, remplis de gratitude, c’est parfois trop pour moi de recevoir autant …

Et dans ces discussions, je ressens un bien-être et une joie comme jamais auparavant.

Et je comprends.

C’était donc ça, arrêter de me cacher, c’était donc ça prendre ma place !

Et toutes ces expériences, brique après brique, pièce après pièce me font comprendre enfin qui je suis.

Et ce sont toutes expériences, ces leçons de vie que je partage dans mes articles et mes formations.

C’est du vécu, c’est du concret, je vous le partage parce que ça a marché pour moi !

A ce jour, j’ai coaché plusieurs centaines de personnes et j’ai animé des ateliers et conférences en France et à l’étranger (Suisse, Espagne, Bulgarie, Belgique, …) pour aider les personnes à sortir des cases dans lesquelles elles sont enfermées.

Il est grand temps !

Depuis 2020, c’est un nouveau tournant, individuellement et collectivement.

Le sujet de mes articles change, le ton, le style, la longueur, des réflexions, des fictions, …

J’ai des furieuses envies d’écrire le matin au réveil sur ce monde qui change, sur cette transition qui s’opère, que je ne saisis pas complètement loin de là mais qui pourrait laisser la place à quelque chose de nouveau, vraiment nouveau cette fois.

Les lecteurs me laissent des commentaires incroyables …

Je m’éclate, alors je continue !

– Jean-Philippe Policieux

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34 réflexions au sujet de “Qui suis-je ?”

  1. Je tiens a vous remercier pour la différence que vous faite tout les jours pour moi un matin en regardant votre pensée sur création de notre vie: a fait toute une différence: aujourdh ui je suis dans la découverte du nouveau moi, je peint, je suis libre a chaque moment de ma vie, quel chance et vous êtes un des déclencheurs .Un gros merci, que de générosité pour votre prochain.Bonne et miraculeuse journée à vous cher Monsieur Policieux

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    • Bonjour,Jean Philippe,
      Chacun a son poids dans la vie et essaie au mieux de l’alléger.
      Votre point de vue est partagé ,je dirai que le premier bénéfice est grâce à la communication….Ce qu’il manque cruellement aux humains .
      En fait il faut combattre les aprioris ,les tabous,etc…avec respect .
      On peut tout faire avec,ou presque et cela evite des malentendus et installe une confiance mutuelle.A nous de faire comprendre ses propres limites parce chacun à son langage,sa façon de s’exprimer et le gestuel ainsi que tout le corps parle..
      Namasté

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  2. Excellent partage de votre parcours Jean-Philippe.

    Vos rebondissements dans vos étapes de vie font penser aux structures utilisées dans le storytelling avec les hauts et les bas du héros de l’histoire.

    Je suis certain que beaucoup de gens vont se reconnaitre dans ces hauts et ces bas, j’en suis aussi et j’ai bien l’impression que c’est ce qui s’appele « vivre ».

    Je vous ai découvert vi cet article sur le corona virus… comme quoi, il y a des opportunités déguisées derrière chaque problème, événement, situation… il suffit de regarder par le bon côté de la lorgniette.

    Belle suite à vous.

    Eric

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  3. MERCI Jean Philippe, j’ai longtemps “travaille” à savoir QUI j’ etais vraiment , et le POUR QUOI des choses.
    Je me suis longtemps “senti” en décalage avec mon environnement .
    Puis, j’ai béni cette période de confinement…
    Votre témoignage tombe a pic!!!
    Je sais maintenant que je veux et que je peux changer et Surtout ..POURQUOI
    IL EST TEMPS…
    MERCI…Jean Philippe

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  4. Merci beaucoup Jean-Philippe…il y a bien des choses qui se remémorent en lisant votre dernier courriel… souvent, je reçois tellement de messages que je les mets à la corbeille sans lire mais là, franchement cela me rafraîchit!
    Bonne suite et portez vous bien,
    Sincèrement, THÉRÈSA

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  5. Quel coup de punch ce matin en lisant votre courrier ! j’adore votre authenticité , ces accents de sincérité deviennent tellement rares dans les rencontres d’aujourd’hui ! Un grand merci à vous. Delphe

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  6. Bonjour,
    Merci Jean Philippe pour la pensée de chaque jour très encourageants et m’inspire bcp. Je suis croyante de foi chrétienne mais je doute tjr c’est ça mon blocage est ce que vous pouvez me citer une phrase ou méditer pour éloigner de moi cette pensée.
    Merci dans l’attente de vous lire
    Anne. Joubert

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  7. Bonjour Jean Philippe,
    Je me rends compte que si je ne laisse jamais de commentaires, c’est par flemme sans doute, mais surtout parce que je ne vois pas en quoi mon vécu peut intéresser les autres…
    Malgré mes convictions bien ancrées et clairement exprimées depuis l’enfance, je n’ai jamais été reconnue pour qui je suis au sein de ma famille.
    Cela m’a conduit à d’immenses gâchis dans ma vie, parfois dramatiques, comme de m’être séparée de l’Homme de Ma Vie, le Papa de Notre Fille, parce que je ne parvenais pas à croire en son Amour, pourtant si réel et profond, pour moi.
    Aujourd’hui il n’est plus de ce monde.
    Ma Fille et moi venons de nous expatrier à l’autre bout du monde, ensemble, chacune pour ses raisons et ses aspirations de vie dont le chaos actuel nous a aidé à prendre profondément conscience…
    C’est aussi une occasion que je me donne, avec l’assentiment de ma Fille, de couper totalement les ponts avec une famille toxique.
    Ils ne savent pas que nous sommes parties, et a fortiori pas où nous sommes.
    Cependant, la lecture de ton interview avec ton père m’inspire beaucoup pour une toute dernière tentative de communication avec ma mère (elle approche les 100ans et je m’étais résignée à la laisser partir avec son déni de la maltraitance que je sais maintenant avoir reçue)
    Je vais lui demander pourquoi elle a toujours refusé de me regarder telle que JE suis…
    Et il n’y aura plus rien d’autre.
    J’ai déjà posément demandé à ma mère et à ma fratrie de reconnaître cette constante maltraitance qui m’a suivie jusqu’à maintenant mais une fois encore j’ai été confrontée au déni, parfois très violent.
    Mais maintenant que j’en ai pris conscience, je ne jouerai plus jamais leur jeu : celui du “comme si de rien n’était”…
    Merci Jean Philippe d’avoir déclanché en moi cette mise au point par écrit et pour nos rencontres quotidiennes au côtés de Neal Donald Walsch.
    Vous êtes tous deux de précieux compagnon de vie sur mon chemin 🌈
    Pascale

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  8. Formidable votre écrit vous avez réchauffé mon cœur
    Merci de ce partage humble, vulnérable et admirable de courage
    Belle journée à vous
    Victoire

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  9. Bonjour Jean-Philippe Policieux. Merci de nous faire connaître votre nom, vous prenez ainsi encore mieux votre place, à mes yeux. Votre récit me touche par sa sincérité, sa implicité et son humilitéToutes ces qualités sont vôtres, et comme elles sont belles pour mon coeur, Merci, Brigitte Ferdin

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  10. Je vous découvre, grâce à votre intervention sur le sommet du canal de l’âme…. Et en vous lisant j ai la sensation que vous parlez de moi… Sauf que j en suis au début de votre histoire : mon métier ne me nourris plus l âme…
    Merci à vous

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  11. Magnifique parcours
    La persévérance, l’écoute de soi et surtout aux autres.
    C’est cela le chemin.???
    Merci de continuer pour nous tous.
    Amicalement
    Marie claire

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  12. Merci Jean-Philippe pour cette meilleure connaissance de toi à travers cette explication. Tu deviens encore plus crédible pour moi, depuis plusieurs années que je suis ta newletter. “Alors continue” Jean Coquard.

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  13. Magnifique, je comprends parfaitement cette longue quête, de même, je suis en et sur le chemin, dont on ne sait et ne connait pas tous les tenants et aboutissants mais qui fait que l’on est en route..

    Le monde de maintenant a tant besoin de se (re)connecter avec sa dimension sacrée et spirituelle.

    Merci Jean-Philippe

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  14. Bientôt 62 piges et tjs en quête de spiritualité pour comprendre et connaître ma mission de vie et d’àme… que cette route est longue avec si peu de certitudes même si je me sens plus serein aujourd’hui qu’il y a encore 10 ou 15 ans. Heureusement des personnes telles que vous existent pour éclairer leur prochain, merci.

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  15. @ Jean Phillipe:
    Synchronicités quand tu nous viens !!!
    C trop rigolo, comme chaque année je relis les 4 livres « Conversations avec Dieu » de « Neal Waltch » ( pardon suis un peu dyslexique entre autres « Je Suis »!)) …
    Et donc, je pensais à vous car étant abonnée depuis des années à la news letter’s de Neal W traduite par vos soins,, je me faisais la réflexion de ne l’avoir point croisée depuis quelques mois…( bcp de mails non lus ds bcp trop de BAL: ceci xplicant peut etre cela…!?)
    Bref , je tombe sur votre adresse Telegram et j’oublie ( très souvent : un autre de mes « Je Suis » !))…
    Et là croyant trouver une prof de français & philo…, je lis et me decide enfin à cliquer sur un lien pour lire la suite de petites histoires « amorcées » sur Telegram et je vous trouve là , alors que depuis des années me revient l’idée entêtante de vous contacter pour échanger, vous connaître un peu … ! ) C rigolo vraiment , pour moi, et peut etre un peu long pour vous qui lisez : veuillez pardonner mon enthousiasme , mais il fallait que je partage ces synchronicités !
    Il se trouve que je cherche mon Chemin de Vie depuis tellement longtemps que je me demande si mon Chemin ne serait pas Cette recherche elle même ⁉️(Tiens ça m’est venu comme ça d’un coup … g peut etre ma réponse ???)
    Merci pour tous vos messages : traduits & personnels❣️🙏🏾Au plaisir d’avoir un rdv professionnel via Telegram…👋🏽😘
    Namasté🙏🏾

    ✨💫🤍🕊🤍💫✨
    Le18/09/2022 de Guadeloupe
    Kychui Ehkytai & n.T

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  16. Merci pour vos pensées, vos témoignages et votre authenticité.
    Chaque jour je lis ma “pensée du jour” et cela me permet de me sentir centrée ou bien de me recentrer si besoin… chacune de ces pensées est un concentrée d’espoir et une main tendue, alors un grand merci à vous et … merci d’être vous ! Belle et lumineuse soirée à vous et à toutes les belles âmes qui liront ces quelques mots.
    Mylène

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  17. Je suis heureuse d’avoir lu ton parcours . Ainsi je me sens moins seule à me trouver à un tournant de ma vie si décisif pour moi.

    Merci Jean-Philippe de nous faire part de ce chemin à obstacles …. et qui sont au fond de soi-même. J’en ai conscience mais c’est à moi de mieux les cerner pour réussir ce dépassement. Apprendre à les cerner j’en suis là…

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  18. Hello Jean Philippe,
    Merci pour tous ces messages qui me font du bien et qui de temps en temps me remettent sur les “rails”.

    Fais tu encore des ateliers ou conférences en Belgique ? si oui pourrais tu me tenir au courant.

    Encore merci pour tous les messages qui me parlent souvent et qui m’apportent la paix & la sérénité.
    Bisoussssssssssssssssss

    Cécile

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  19. Bonjour Jean-Philippe,
    Je lis vos pensées quotidiennes depuis plusieurs années et je viens de découvrir votre parcours seulement aujourd’hui.
    Bravo pour ce cheminement passionnant et inspirant pour tous ceux qui se cherchent !
    Je me reconnais dans une partie de celui-ci, l’origine scientifique et rationnelle qui détonne avec une évolution vers le spirituel et l’invisible, de quoi nous déstabiliser et casser bien de nos croyances, c’est absolument passionnant !
    Merci pour vos éclairages et les pistes que vous nous transmettez.
    Gratitude et tout mon soutien pour la poursuite de vos activités.
    Bien amicalement,
    Sandrine

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  20. Merci à Vous Jean Philippe je vous ai redécouvert grâce à une amie car vos pensées quotidiennes me font du bien et là je viens de lire votre parcours et me rends compte que chaque humain a son chemin et doit affronter les obstacles … par contre à 64 ans très fatiguée j’ai l’impression de ne pas avoir encore rencontré ma vrai vérité intérieure …

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  21. HELLO?
    J’ai egalement une appetence pour les mots et ai traverse pas mal de pleins et delies durant mon existence (68 ans) dans quelques jours… Comme vous je crois que : “pour sortir de ‘l’en cage’, il faut continuer toujours sur le chemin du langage”…Les maux eux semblent s’apaiser un peu… je suis une tortue de mere, ayant fait passer la”mama” avant la femme depuis 36 ans (age de mon fiston, Steve). Re connaissance, re connais sens semble etre mienne ici et maintenant, Je m’amuse bien et la fillette en moa se rejouit… Je vous envoie un somptueux Eclat de RIRE et embrasse votre “etrete”…GRATITUDE!!!!!!!!!!! Marie Instant

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  22. Merci Jean Philippe,
    Depuis plusieurs années je reçois chaque jour vos messages, et c’est toujours le conseil que j’avais besoin.
    C’est incroyable mais tellement vrai.
    J’ai tous les livres 📚 Neale.
    Souvent je m’y replonge quand je perds ma route.
    J’aimerais tellement vous rencontrer en vrai.
    Tellement savoir qui je suis…
    Oublié ce passé qui me fais tant mal.
    Accepté d’être aimé, et savoir aimer.
    J’ai 73 ans,et je ne sais toujours pas.
    Vous êtes chaque matin mon rayon de soleil.
    Merci
    Bien à vous.
    Marie Claire

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